Description Mentale : (5 lignes minimum)En réalité, il a un caractère si inhabituel, tellement unique, qu’il en devient l’aspect premier de tout le personnage. Par où commencer ? De nombreux points sont à évoquer, mais nous débuterons par cette étrange tendance à se prendre pour un Dieu.En réalité je me trompe. Pein ne se prend pas pour un Dieu, il est Dieu. Tout en lui le prouve, le personnage dans son entier ne se dirige que vers ce point précis : l’aspect divin qu’il possède. Lui qui n’était comme "s’est transformé en un être supérieur" et "s’est approprié le titre de Dieu de ce monde". Par la souffrance, la peine et le désespoir, le jeune être a d’abord grandi de l’Enfant à l’Homme, puis de l’Homme au Dieu par le même chemin logique. Partant de ce constat simple, tous ses gestes,toutes ses décisions et toutes ses actions sont commandées par l'affirmation suivante : Je suis Dieu. C’est alors développé chez l’être suprême une psychologie détonante qui se persuade elle-même, en permanence, de cette idée. Il s’agit d’ailleurs là du point de départ et de l’explication du reste de la mentalité du personnage. En tant que Dieu, Pein a développé un sens aigu de l’égoïsme poussé à l’extrême, un égoïsme qui s’allie avec un repli sur soit, une excentricité et une forte tendance à se croire invincible. Ce mélange explosif produit un cocktail des plus dévastateur, comme vous devez vous en douter.Cet aspect premier de la personnalité du puissant Pein n’est pas le seul, ni même le plus étonnant. En réalité, ils sont tous très étonnant. En outre nous pouvons ainsi constater une froideur extrême dans le regard mais aussi la personnalité, l’essence même du personnage. Les émotions lui sont étrangères et ce pour une raison très simple : avec elles naissent la haine, la violence et la mort. Ces choses mêmes dont il se dit l’ennemi. Car c’est bel et bien le cas, malgré son aspiration à la divinité de la souffrance, Pein n’en reste pas moins un Dieu pacificateur. L’idée est des plus simple. Par la destruction, la mort et la désolation, Pein veut dompter l’esprit belliqueux de l’Homme faire en sorte que la peur soit le gardien de la paix.
Description Physique : (5 lignes minimum)
Tendoû:Ce corps est celui que nous pouvons aisément qualifier de « corps principal ». Il est le premier à apparaître dans l’histoire et est le plus fréquemment utilisé. Il faut dire qu’il est aussi, et de loin, le plus « stylé ». Son aspect général est assez évasif. La longue robe noir d’Akatsuki recouvre presque entièrement son corps, à telle point que la plupart du temps même ses mains ne sont pas visibles. La toge est relativement classique comme vous le savez, puisqu’elle se compose essentiellement de noir, orné de nuage rouge à contour blanc. La taille générale de ce corps est assez banale pour celle d’un homme arrivé à maturité et ne laisse pas aisément deviner la puissance qu’elle cache en son sein. Pour être plus précis, nous passerons maintenant aux quelques petits points visibles du personnage. Le Tendoû est, comme toutes les autres enveloppes corporelles du Dieu de la souffrance, marqué au visage par de très nombreux piercings. Ces derniers ornent en grandes quantités ses oreilles ainsi que son nez. Mais il est aussi possible d’en voir sous sa bouche, deux sur le côté qui accentue le côté froid et dangereux du personnage. Encore une fois à l’accoutumé pour les corps du personnage, ce dernier a bien entendu les cheveux d’un orange vif ainsi qu’un bandeau barré qui montre fièrement l’appartenance au village d’Ame.
Ningendoû:Passons maintenant au corps suivant si vous le voulez bien. Ce dernier est lui aussi relativement important puisqu’on a notamment l’occasion de le voir lors de l’affrontement entre le Sanin Jiraya et les enveloppes du Dieu. Contrairement au Tendoû, celui-ci est relativement grand et doit certainement avoisiner les deux mètres, au bas mot. Très fin, il a l’allure d’une grande tige dépourvue de muscle. Et pourtant la force n’est pas absente à l’intérieur de cette frêle apparence puisqu’il arrivera notamment à bloquer des coups de taijutsu du sanin sans trop forcer, alors que ce dernier utilisait le senjutsu. Nous noterons donc une force relativement élevée malgré une apparence presque maladive.
Comme tout les membres d’Akatsuki, ainsi que tout les autres « Pein », le «Ningendoû» est habillé de la longue cape de l’organisation des lunes rouges, de cheveux roux qui ont cette fois la particularité d’être plutôt long, comme ceux d’une fille en réalité. Nous n’oublierons pas non plus le resplendissant bandeau ninja à l’effigie du village de la pluie. Ce dernier masque le front du guerrier défunt, marionnette divine.
Gakidoû:La suite se fera avec ce corps-ci. Lui aussi nous pouvons le voir pendant quelques temps lors du combat contre Jiraya. Eh oui, vous avez deviné il s’agit bien du gros balourd qui absorbe tout ! Une fois de plus, on peut dire que l’on descend d’un cran dans le « style » du personnage. Heureusement que Tendoû rattrape tout n’est-ce pas. Mais ne nous écartons pas. Comme dit plus haut, il s’agit bien du corps ayant l’incroyable faculté d’absorber n’importe quelle attaque, quelque soit sa puissance. Son apparence est assez laide, puisqu’il est un peu plus petit que le « corps principal » mais doit bien peser le double. Le résultat est assez prévisible : il a l’apparence d’une petite boule et si on le croisait dans la rue de dos, on ne saurait pas tout de suite qu’il s’agit d’un ninja.
Et pourtant détrompez-vous car c’est bel et bien le cas. La traditionnelle cape de l’Akatsuki est notamment la pour le rappeler, ainsi que montrer qu’il n’est pas un faiblard, loin de la même. Les cheveux roux du guerrier
sont moins longs que ceux du Ningendoû mais il n’en reste pas moins relativement long pour un homme. Comme les autres, il porte un bandeau
du village d’Ame qu’il utilise notamment pour garder ses cheveux plaqués contre son crâne. Le résultat n’est pas très esthétiques mais des plus efficaces en combat, et c’est encore ça l’important.
Jigokudoû:Passons maintenant à l’avant dernier corps de Pein. Ce dernier est, d’allure, le plus impressionnant de tous. Sa taille est à peu près équivalente à celle du Ningendoû, tandis que sa carrure vaut celle du Shuradoû. Large d’épaule, imposant et massif, il laisse parler les muscles de son corps pour faire peur à ses adversaires. Mais ce n’est pas tout : l’expression hautaine de son visage rivaliserait presque avec celle du Tendoû. Les capacités de ce dernier sont encore flou, mais il semblerait qu’il soit capable, lorsqu’il étrangle ses adversaires, de leur faire voir une tête de démon ou de Dieu qui lui permet d’interroger ses victimes et surtout d’absorber leur âme pour ainsi fouiller dans leur mémoire et trouver ce qui l’intéresse. Cette technique est notamment utile lorsqu’il recherche quelqu’un…
Chikushoudoû:Nous allons donc terminer avec le sixième et dernier corps qui est en réalité le septième. En effet il s’agit du remplaçant du corps vaincu et tué par le Légendaire Ermite Jiraya Tout comme son prédécesseur il a la faculté d’invoquer de nombreuses créatures différentes, et notamment les différents autres corps, ce qui est particulièrement pratique. Mais les plus observateurs d’entre vous auront sûrement remarqué la grande particularité de ce corps comparé aux autres. En effet, celui-ci est celui d’une femme, certainement d’une adolescente, mais toujours est-il qu’il s’agit d’une représentante du
sexe féminin. C’est assez exceptionnel pour que je prenne le temps de le préciser, assurément Autrement, nous pouvons aussi très simplement supposer que ce corps est certainement emprunté à une personne morte très jeune puisque la taille de la personne, mais aussi ses traits de visage
font très jeune. De toute, cette enveloppe est de loin la plus petite et doit certainement être à moins d’un mètre 70. L’aspect féminin est très peu
développé chez cette enveloppe, si bien qu’il est difficile d’être sur de sa sexualité. Toutefois, il semble tout de même assez évident que c’est bel et
bien le cas. En nous attardant un peu plus sur le visage de cette incarnation féminine de Dieu, nous pouvons y voir un tout assez réussi. La coupe de cheveux, pourtant des plus farfelus, décor magnifiquement bien l’enfantin visage de cette petite fille. Les différentes mèches rousses qui tombent sur le visage de cette emprunte cadavérique rendent le tout
relativement agréable à la vue. Au-delà de ça, la jeune fille possède des traits fins et raffinés, bien dessinés et quasiment symétrique. Elle a aussi sept piercings sur le visage, trois sur chaque joue et un sur le nez, ainsi que deux rinnegan à la place des yeux « normaux ». Et le regard que lance ces yeux est, à l’accoutumé, particulièrement calme et froid. On a l’impression qu’aucune émotion ne la transperce, qu’elle ne ressent rien et ne voit rien, qu’elle n’est qu’une carcasse vide. En même temps, c’est le cas…
Histoire : (15 lignes minimum)J’aimerais, j’adorerais même, vous pouvez en être assuré, vous narrer l’histoire de Pein. Moi, Dieu, apprécierais éclairer les lanternes des impies et des pêcheurs. Mais, comprenez-vous ? Mon cœur est à présent scindé en deux, d’une part de peine et d’une part de compassion. Cependant ! Moi qui ait la responsabilité, en tant que Dieu de toute chose, je ne peux pardonner aux blasphémateurs qui sévissent ici et là. Pourquoi ? Parce qu’il s’agit d’un combat pour la Justice. La Justice protectrice de toute Paix ! Alors, tous, ne devrions nous pas présenter aux ignorants l’Histoire véritable de notre monde ?! Ma création la plus splendide, mais aussi la plus désolante ! Parce que Dieu EST l’Histoire, expliquer la création du monde est expliquer son Histoire. C’est pourquoi, sous vos yeux ébahi, la lumière s’allumera, le rideau de l’ignorance se baissera pour laisser place à l’Histoire véritable !Tout commence il y a de cela des centaines d’années, lorsque seul sur cette terre désolée, mon descendant décida de créer le monde. Il était une personne avisée et douée, sa bonté sans pareille le poussa à donner la vie, à créer des êtres vivants pour animer cette planète morte. Par son pouvoir, il créa les éléments naturels. L’eau, le feu et la flore apparurent. Mais, aussi parfait soient-ils, jamais ils ne bougeaient. Leur inactivité consternait mon vieux père. C’est pourquoi il se décida enfin à créer les animaux. Il en fit de toutes sortes, de toutes tailles et de tous poids. Chacun d’entre eux reflétaient une humeur, une facette ou une envie du caractère de leur créateur. Mais aucun ne pouvait prétendre au titre de « meilleure création » Chacune d’entre-elle possédait un trait caractéristique qui la rendait plus parfaite en un point, mais moins en l’autre. Seulement, une fois son dur labeur achevé, mon géniteur s’aperçu d’une chose. Aucune de ses créations ne lui ressemblaient véritablement. Il entreprit alors de créer sa plus belle, sa plus parfaite chose. Plus belle que la flore, plus intelligente que la raune, plus active et moins prévisible que l’eau et le feu. C’est ainsi qu’à l’aube d’une nouvelle ère, l’Homme naquit. Mais en donnant la vie, mon père écourta la sienne. A peine eu-t-il le temps de créer l’Homme qu’il mourut le laissant seul et sans défense. Le monde, les Sociétés et l’Histoire avancèrent à leur rythme. Malheureusement, mon vieux père n’avait pas prévu que sa création parfaite puisse être parfois aussi mauvaise, néfaste à l’égard de ses semblables. La guerre pointa rapidement le bout de son nez et, avec elle, la mort des enfants de mon géniteur. Le monde resta ainsi pendant bien des années, s’entre-tuant peu à peu, cherchant à se tuer lui-même. Suicidaire, ainsi était la plus parfaite des créations.Fort heureusement,
mon père fut prévoyant. Dans un dernier souffle de vie, il conjugua tous ses pouvoirs au sein de mon corps et fit de moi le nouveau Dieu de ce monde. J’étais jeune et innocent alors que je regardais le monde se déchirer. J’avais confiance en mon père et en ses créations, c’est pourquoi je laissais faire, apprenant à souffrir aux côtés des autres opprimés de ce monde. Mais le temps passe et les choses ne s’arrangent pas. Ici et là, on meurt à cause des guerres et des conflits entre les Hommes, ont détruit et on pille par cupidité et plaisir. Je ne peux en supporter d’avantage. Ainsi, reprenant l’œuvre de mon père, je vais à présent me tourner vers l’avenir et faire grandir le monde, ultime création, vers un stade de Paix éternel. Mais sachez que même pour Dieu, toutes choses s’obtient en échangent d’autres choses. Il y aura des morts. Ceux qui ont semé le chaos devront payer et devront rendre des comptes lors du Jugement. Aux autres, je m’engagent à transformer ce monde pour vous. Par mon action et en marchant près de moi, le monde enfantin grandira pour enfin devenir adulte et sérieux. Et cette évolution ne se fera par le biais que d’une seule chose…